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23 juillet 2021 5 23 /07 /juillet /2021 17:54

Depuis mars 2020, l’association, comme nous tous, subit les conséquences de la Covid 19 :

  • Seul un stage infirmier programmé en 2020 a pu se dérouler normalement. Le second a été écourté, le troisième  (mai-juin-)  annulé. Les demandes de stages formulées pour 2021 ont dû être déclinées. En effet depuis cette date et jusqu’à ce jour, les liaisons aériennes vers Madagascar sont suspendues et le pays  se bat lui aussi contre le virus.
 Justine, Margot et Sonia de l'I.F.S.I. de Bourgoin-Jallieu dont le stage a pu s'effectuer dans sa totalité en février

Justine, Margot et Sonia de l'I.F.S.I. de Bourgoin-Jallieu dont le stage a pu s'effectuer dans sa totalité en février

Emma et Mélanie de l'I.F.S.I. de Nice dont le stage a du être écourté.

Emma et Mélanie de l'I.F.S.I. de Nice dont le stage a du être écourté.

Margot, Hélène, Laetitia et Lucie de l'I.F.S.I. de Toulouse, dont le stage a été annulé en mai-juin.

Margot, Hélène, Laetitia et Lucie de l'I.F.S.I. de Toulouse, dont le stage a été annulé en mai-juin.

  • De même les activités d’expositions et de ventes sont à l’arrêt depuis mars 2020. Seule l'exposition-vente à la salle des Fêtes de Bar le Duc a pu avoir lieu in-extrémis avant le deuxième confinement.
QUE DEVENONS NOUS DEPUIS LA COVID 19?
  • Un point positif toutefois : une étudiante malgache, Miarana, fille du Dr Salohy accueillant les étudiants à Ankazomiriotra, a eu, malgré la fermeture des frontières, l’autorisation officielle de venir en septembre 2020 pour terminer ses études à Poitiers. L’association moins occupée par ses activités habituelles, a pu l’accompagner pour ses déplacements et ses emménagements, sachant qu’elle effectue actuellement son stage de fin d’études à Strasbourg jusqu’au mois d’octobre.
A Poitiers puis à Strasbourg
A Poitiers puis à StrasbourgA Poitiers puis à Strasbourg

A Poitiers puis à Strasbourg

  • Ne pouvant toujours pas nous rendre à Madagascar actuellement, nous avons la chance d’entretenir d’excellentes relations avec nos partenaires locaux, en particulier avec ceux qui suivent les enfants parrainés. Bako, la surveillante de l’internat où sont logés nos filleuls, s’occupent très bien d’eux et nous envoie nouvelles et photos régulièrement.
Salohy, Nantenaina, Tojo, Tahiry et Mendrika.
Salohy, Nantenaina, Tojo, Tahiry et Mendrika.
Salohy, Nantenaina, Tojo, Tahiry et Mendrika.

Salohy, Nantenaina, Tojo, Tahiry et Mendrika.

  • Ici en France, nous pouvons heureusement compter sur nos fidèles adhérents, donateurs et parrains en attendant de pouvoir reprendre nos activités plus « rémunératrices » d’échange et de partage avec la population meusienne.
  • Actuellement et dans ce contexte de restrictions, nous avons été très heureuses d’être contactées par la responsable du centre aéré de Vaubecourt pour venir parler de Madagascar, (sur trois demi-journées),  aux enfants le fréquentant avec la perspective d’un échange entre eux par des dessins, vidéo, etc…

La première demi-journée s’est déroulée mercredi 21 juillet après-midi. Les enfants étaient très curieux et intéressés par le récit d’une journée de la vie des enfants malgaches à la campagne,  illustré par des photos et des objets du quotidien appartenant à l’association.

QUE DEVENONS NOUS DEPUIS LA COVID 19?
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